De l'organique au minéral, des déchets aux accessoires, nous avons essayé de balayer un spectre aussi large qu'aléatoire de matériaux, en prenant le parti de peu changer de source d'éclairage pour jouer davantage avec les différentes façons de la positionner que nous offraient le studio et notre imagination.



Les images ne sont pas traitées par ordinateur, on peut ainsi voir les différences de dureté, de couleur, de flou ou de texture de la lumière et du matériau, les deux éléments s'unissant dans un tout inextricable : la matière et la lumière qu'on pose dessus sont une seule et même chose.



samedi 5 février 2011

Conclusion :

Lors de la réalisation de la prise de vue de cette maquette, nous avons souhaité étudier l’effet de transparence et de réflexion de la lumière avec les peaux de clémentines et les éponges, matières que nous avons choisi pour leur diversité de rendu, leur granularité et leur manière d'habiter l'espace.

Nous avons décidé de limiter notre matériel d’éclairage afin de plus nous concentrer sur les positions potentielles de notre éclairage. Nous avons donc uniquement utilisé des flashes et leurs accessoires (boites à lumière, bol, fibre optique) dans des configurations diverses.

Nous constatons finalement une grande variété de réaction, même avec un choix d’éclairage assez restreint. La très grande différence qu'engendrait un simple changement de position ou d'accessoire sur le rendu de la matière nous a permis de mieux saisir l’importance de la précision des paramètres d'éclairages, et la réflexion préalable qu'ils exigent.